Chaque année, les prix de thèse de l’Université catholique de Lille sont organisés avec le soutien de la Fondation de la catho de Lille.

Ils mettent en valeur les travaux de recherche réalisé par des doctorants en 3e année de thèse, membres des établissements de l’Université.

La Commission recherche distingue ainsi des travaux qui se caractérisent par un fort potentiel en termes d’impact sociétal, notamment dans le domaine de la transition : écologique, numérique, sociale…

Trois prix seront décernés le 18 juin 2024 : 1er prix 1 500€, 2e prix 1 000€, et3e prix 500€.

Voici la présentation des sept candidats qui ont postulé cette année.

Madeleine BILLMANN   

Accueillie à JUNIA/ISA – Laboratoire LGCgE – Thèse encadrée par Aurélie Pelfrene, enseignant-chercheur en toxicologie de l’environnement. Soutien de l’ADEME

Formée dans les Universités de Strasbourg, Bordeaux et Lille, Madeleine BILLMANN consacre ses travaux à la gestion des sites et sols contaminés et à l’évaluation des risques sanitaires.

Le sujet de la thèse porte sur l’amélioration des évaluations de ces risques sanitaires par l’utilisation de la bio accessibilité orale comme outil de caractérisation des expositions de l’homme aux éléments métalliques (chrome, nickel…)

Adrien BOSSU  

Accueilli et co-encadré par le Laboratoire LITL JUNIA/FGES.

Formé à JUNIA / HEI, ingénieur en énergies renouvelables, Adrien BOSSU prépare sa thèse sur la supervision optimisée d’un réseau local de distribution d’électricité. Avec prise en compte de critères énergétiques, environnementaux, économiques et sociétaux (comportement des acteurs, comportement des usagers…).

Marine CHAILLARD  

Accueillie au Laboratoire LITL et à ETHICS – Thèse encadrée par Amar DJOUAK, enseignant-chercheur en analyse des données à JUNIA et Clarisse CERIANI, enseignant-chercheur en économie à JUNIA.

Formée à Besançon puis à Angers (ISTOM), ingénieure en agro-développement international, Marine CHAILLARD prépare sa thèse en économie sur « la pluriactivité agricole : exercer le métier d’agriculteur autrement ». Comment cumuler la gestion d’une exploitation agricole avec une autre activité extérieure, ceci en comparant les situations du Nord-Pas de Calais et du Languedoc-Roussillon ?

Doha KHALAF  

Accueillie à l’ICAM site de Lille – Thèse co-encadrée par Delphine PRADAL, enseignant-chercheur ICAM.

Formée en nutrition et diététique, puis en analyse et sécurité alimentaires à l’Université arabe de Beyrouth (Liban) et à l’UTC de Compiègne, Doha KHALAF est spécialisée en génie des procédés appliqués à l’agroalimentaire.

Sa thèse est consacrée à l’optimisation de l’extraction, assistée par ultrasons, des antioxydants phénoliques issus du marc de cassis. Ces travaux se font en partenariat avec une entreprise de fabrication de jus de fruits.

Héloïse MICHELON

Accueillie à ETHICS et au C3RD – Thèse de philosophie co-encadrée par Malik BOZZO-REY (ETHICS) et Blandine MALLEVAYE (Faculté de Droit et C3RD).

Formée en droit public puis en philosophie à l’Université Jean Moulin à Lyon, Héloïse MICHELON prépare sa thèse sur le sujet suivant : « Que doivent les parents à leurs futurs enfants ? Exploration des décisions procréatives et de leur encadrement juridique ».

Il s’agit d’analyser le concept d’obligation morale des parents envers leurs futurs enfants, dans le contexte d’un accès grandissant à l’information génétique et aux technologies qui entourent la procréation.

Félix OFORI – AGYEMANG  

Accueilli à JUNIA et au LGCgE – Thèse encadrée par Christophe WATERLOT, enseignant-chercheur à JUNIA.

Formé à l’Université de Kumasi au GHANA, puis à JUNIA (gestion durable des pollutions), Félix OFORI – AGYEMANG prépare sa thèse de doctorat sur l’optimisation des stratégies de phytomanagement sur sols contaminés en métaux (Cd, Pb, Zn), pour fournir des biomasses destinées à la production de biocarburant propre.

My – Nghe TRAN    

Accueilli à JUNIA et à l’IEMN.

Formé en chimie à l’Université Quy Nhon de Binh-Dinh au Vietnam ; puis en biotechnologie à Chisholm Institute en Australie ; puis en nano physique à Gachin University en Corée du Sud.

My-Nghe TRAN prépare sa thèse de doctorat en sciences des matériaux à JUNIA et à l’IEMN, dans le cadre du programme PEARL, financé par l’Europe, privilégiant des sujets interdisciplinaires.

Sujet de thèse : Project of Catalysis Inducing Diodes for Sustainable Chemistry and Renewable Energy .

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